La fonction respiratoire, autant pour l’homme que pour le chien, est vitale pour les poumons, le cerveau et le corps de tout animal qui respire par la bouche et le nez, à l’air libre. Ces deux organes que possèdent et le chien et l’homme, portant désormais tous les deux un masque ou une muselière, il ne semble y avoir aucune différence entre ceci et/ou celle-là, par lesquels ils respirent et font bien d’autres choses avec, le premier le porte au nom de muselière pour qu’il ferme sa gueule; le deuxième autant mais sous prétexte qu’il risque de s’étouffer en s’étouffant, et d’étouffer les autres avec cette maladie fabriquée de toutes pièces par l’homme et ses machines destructrices et intelligentes. Humm ! ???
Tout le monde sait combien désormais, puisqu’il n’est plus question seulement de chien ou de tout autre animal, il est inconfortable et dangereux de porter ou de ne pas porter un masque, depuis que l’air que tous nous respirons est contaminé en maudit et multiplié par cinq 5G.
Par ce résultat obtenu en laboratoire, et qui nous est imposé, l’homme, peut-être, en éprouvant les mêmes difficultés respiratoires que le chien, il finit par comprendre combien martyr est celui-ci, qui a besoin de sa bouche libre pour diverses fonctions, autant que lui, surtout lorsqu’il est à ce point muselé, donc incapable de se servir lui-même quand il en aurait le plus besoin. C’est peut-être le moment de rappeler à toutes et à tous que « what goes comes around ». Voilà que de la même façon, ce que nous avons fait au chien nous le faisons à nous-mêmes, de gré ou de force, au moment dont nous ne le voudrions point. Question de karma, n’est-ce pas ?
Autant de leçons apprises, autant de méfaits commis pour lesquels l’homme ne semble avoir l’intelligence de corriger ou d’arrêter.
De l’intelligence naturelle à l’intelligence artificielle, tant que nous avançons, tant que la machine nous remplace, avec les mêmes imperfections de plus en plus puissantes et semble-t-il incontournables, au point que tout disparait sous nos yeux sans que le petit doigt ne puisse rien arrêter, et qu’à la longue il ne signifie rien quand il se lève, le voile s’épaissit et nous tombe sur la tête.
Ce masque ou muselière, appelez-les comme bon vous semble, que porte tout un chacun contrairement au chien qui le porte quand il est trop bavard ou enragé; l’un ou l’autre finira par nous faire perdre la tête, le bon sens et tous les sens si nous continuons d’accepter le bavardage des autres, de mourir à petit-feu; comme il arrive au chien d’être privé de tout ce qui fait de lui un chien jusqu’à ce qu’il devienne doux comme un mouton, et meurt avant son âge, dans le chagrin.
Dénaturation ou dépopulation, le chien et l’homme subissent le même sort – l’un par l’autre, l’autre par lui-même – ; sauf que si le chien était capable de s’en sortir, de s’enlever la muselière il le ferait sans hésiter, à la seconde moins. Tandis que l’homme, l’animal prétendument le plus intelligent parmi tous les êtres de la terre, accepte malgré lui désormais de porter un masque n’en déplaise aux dieux.
Je Plaide
08 Janvier 2021
Mike Joseph